lundi 11 juin 2018

Chronique : Vincent Berger Rond - Elle avait raison Hathor



Vincent Berger Rond - Elle avait raison Hathor

Des liaisons et des rapports, d'une substance à l'autre. Des bribes surgissent en écho, des miroirs d'un autre temps ou d'autres fonctions. L'histoire brisée, des formations aléatoires et pourtant si fermes et justes. Les instruments qui étaient laissés là reviennent dans un autre état, sur des traces mythologiques. Les mythes et le son forment des mystères, des rubans de bruit, d'harmonies qui éclatent ou s'ajustent. Les rapports des instruments, violons, guitares, des instruments sans rapports, la ligne, les segments à suivre, face à la précision, l'écriture, tout est précis et dense. Sans vraiment de points d'accroche, ni de ruptures, les lignes suivent et déforment, les miroirs décident d'une autre jonction, tout est condensé sans s'extraire des rapports. Elle avait raison car il parle d'elle et elles et la mythologie, cachée dans le son, un tapis de sens dans les sons.

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